@eric-regley
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Up0
Bonjour Béa,
Etonnant! Mais malheureusement une reine seule est condamnée à très court terme. Je ne pense pas qu’il soit judicieux d’essayer de faire une nouvelle colonie avec elle (elle était certainement défaillante). D’où provient cette reine?
Pour les autres colonies, les ressources sont faibles et il faut être très vigilant. L’absence de pollen implique un ralentissement voire un arrêt de ponte des reines. Donc il faut nourrir (sirop + pâte protéinée).
Eric
Up0Bonsoir Roch,
1) le genêt n’est pas mélifère (ni pollen, ni nectar), reste le tilleul…. Mais de là à faire une miellée?
2) tu peux monter cette ruche à Puimoisson après le 16/06.
3) pour les supports, j’ai les plans et Henri a fabriqué un gabarit . A voir au rucher-école.
4) pour les appâts VVN, effectivement ils varient en fonction de la période. Actuellement, ils ne sont pas en recherche de protéines animales (à partir de la 2 ème quinzaine de juillet) mais plus sur du fermenté. Jean-François doit pouvoir préciser cela. Pour info, la raquette de badminton est très efficace!
Eric
Up0Bonsoir Christian,
Effectivement il y a des retardataires! C’est pour cela qu’il ne faut pas hésiter à fermer tardivement après le coucher du soleil. Une année, aux Mayons, j’ai compté un retour dans la ruche de plus de mille abeilles alors que la nuit était tombé depuis plus d’une heure.
Eric
Up0Bonsoir Roch,
Pour avoir une lecture la plus précise, il faut laisser les langes plusieurs jours (7 c’est bien) et ensuite ramener le total à la CNJ (nbre de varroas divisé par le nombre de jours). Au printemps, la CNJ doit être inférieur à 5. Au-delà, l’infestation sera trop forte et il faut faire un traitement (et contrôler l’effet sur langes).
Pour la conservation du varromed, il faut se conformer aux prescriptions du fabricant….
Eric
Up0Bonjour,
Effectivement comme le précise Gilles c’est une reine au moins de 2018.
Si c’était un essaim secondaire avec une reine vierge, le délai entre le 20 mai et le 01 juin est un peu court pour avoir autant de couvain (en partie operculé > 8 jours).
A plus dans le bus (demain!)
Up0Parfait, merci Jackie. Belle installation!
Je pense qu’il faut préciser que l’intérêt de placer cette ruche au milieu des jardins est lié à la pollinisation des différents plants et non pas l’observation au trou de vol…
Eric
Up0Bonjour Jackie,
Ingénieux effectivement! Peux-tu faire des photos de ton installation?
Merci
Eric
Up0Bonjour,
Merci Jackie d’avoir ouvert un fil sur la cueillette d’essaim ou la récupération de colonie.
Je rappelle tout d’abord que la charte du cueilleur d’essaim est disponible sur notre site (onglet Les essaims) et que cette charte doit bien évidemment être respectée par les adhérents qui répondent à un signalement d’essaim (obs: merci à ceux qui ont déjà eu l’occasion de récupérer un essaim de laisser dans un premier temps la priorité aux primo-cueilleurs).
Au niveau de la technique, comme le dit Jackie, chacun a ses pratiques. Ce qu’il faut, c’est que soit fait proprement, sans prises de risques. Donc être prêt (compétence, équipements, matériels et disponibilité), bien analyser la situation et si nécessaire demander un coup de main à un adhérent plus confirmé.
Il faut aussi bien faire la distinction entre un essaim qui vient de se poser et qui est en recherche d’un emplacement définitif et une colonie installée depuis plusieurs jours, semaines, mois, voire années.
Dans le premier cas, l’essaim est dans une dynamique qui va lui permettre de bâtir très rapidement. Il n’est donc pas nécessaire d’avoir des cadres bâtis, des cirés feront très bien l’affaire. En revanche, il faut que la caisse soit préparée correctement (flambage). Pour ce qui est du nourrissement et du confinement, il y a plusieurs écoles! Pour ma part, je pratique comme l’a dit Jackie, mise en place le soir même, ouverture et nourrissement léger. Cependant, dans le cas d’un essaim secondaire qui aura été difficile à enrucher (1 ou 2 désertions rapides) il est bon d’assurer et de confiner au frais et dans le noir (24h sont normalement suffisantes).
Dans le second cas, la technique est différente:
– Il n’y a pas d’urgence (sauf risques de sécurité) contrairement à un essaim qui peut repartir très rapidement;
– Il faut bien étudier la faisabilité de la récupération: pas de risques (hauteur, accessibilité), pas de démontage (plaques PST, faux-plafonds, etc…), pas de dégâts;
– La colonie est installée: rayons bâtis, couvain, provisions. Elle se laissera moins faire qu’un essaim (agressivité)! Ensuite, il faut maîtriser la technique de découpe des cires et de leur mise en place sur les cadres. Il faut donc se faire aider par un adhérent confirmé.
– Avec du couvain (et bien sûr avec la reine), le risque de désertion est quasiment nul; on peut donc mettre la ruche a son emplacement et ouvrir dans la foulée.
Eric
Up0Fred,
la prise compte c’est quand elles montent en nombre dans la hausse, qu’elles bâtissent et que çà « mouille » (signe d’une miellée). Mais pour cela, il faut déjà que le corps soit bien rempli et qu’il y ait les effectifs nécessaires.
Eric
Up0Bonjour Fred,
Pour moi, laisse ta grille à reine en place, remet la hausse (même si elle ne semble pas être réellement prise en compte) et laisse ta colonie tranquille. En revanche, il serait bien de faire des pesées régulièrement pour vérifier si le corps prend du poids (à défaut de la hausse!).
Eric
Up0Bonjour Isabelle,
Il faut, à minima, des antihistaminiques (Zyrtec, Aerius), de la pommade hydrocortisone (Onctose, Aphilan) et des cachets de Prednisolone (orodispersible).
Les « aspivenin » ne me semblent pas pertinents.
Ensuite, il est bien d’avoir aussi une trousse « lamda » avec le nécessaire pour les petites plaies, brûlures, échardes, …
Eric
Up0Bonsoir Christine,
l’Abeille de France assure en RC, en Incendie tempête, en multirisque.
Pour bénéficier de ces assurances, il faut être abonné à leur revue (la RC est alors offerte pour les 10 premières ruches). L’association assure ce service au moment des inscriptions annuelles, c’est donc trop tard pour cette année!
Ci-joint les modalités données par l’Abeille de France.